La version mondiale, l’OMS

Lina Germain
12 février 2015

L’organisation mondiale de la santé nous transmet une version avec pourcentage des 3 principaux facteurs conduisant aux maladies cardio-vasculaires, soit l’éternel tabagisme, la sédentarité reliée à la déficience de l’activité physique et cette visuelle obésité associée à la mauvaise alimentation.

En accord ou non, avec cette UNITÉ de préoccupations de soins de santé, il demeure que chaque patient a son vécu qui n’intègre pas les données scientifiques d’un pays en comparaison des données mondiales. Par exemple, il est mentionné que la fin de jouissance du cadeau de la vie arrive avant 70 ans à cause de déterminants ( la pauvreté, le stress …) reliés aux maladies cardio-vasculaires dans des pays à faibles revenus.

Par extension de mesures d’austérité implantées dans plus d’un pays, les revenus sont à la baisse ce que la pauvreté, le stress sont à la hausse. Pour un gouvernement, la course à l’équilibre budgétaire est déjà terminée tandis que le sprint final pour boucler les fins de mois chez certaines personnes ne finira jamais ! Ainsi, elles deviennent éligibles au statut de participants involontaires du système.

En analogie avec ce dicton : , je constate au fil du temps, que les efforts soutenus, pour être en équilibre avec soi-même, s’évanouissent. En écoutant autant de recommandations, on finit par se faire évincer de sa propre vie.

J’ai cessé de fumer depuis plus de 30 ans, et j’ai tenu tête à un chargé de cours à l’université… Ce serait mentir de dire que la santé, la mienne, est qualifiée d’opération réussie. Ainsi, il y a plus d’un avantages que la recherche dévie et que certains facteurs de risques se perdent dans les couloirs.