Humeur du 20 au 22 février

Nathalie Hamelin
26 février 2015

Entrée 1

Vendredi 20 février, traffic épouvantable qui aurait pu me faire chialer un max mais j’ai quand même réussi à ne pas chialer en me disant que j’avais eu beaucoup de plaisir en écoutant mon émission de comique du matin à la radio et en me disant qu’on était vendredi alors on ne chiale pas pour rien. Samedi 21 février. Le chat me réveille plus tôt que prévu mais ça me permet de profiter au max de ma journée alors pas question de lui en vouloir et de ne pas être bonne humeur pour ça. Il a voulu m’aider à profiter de ma journée. Dimanche 22 février : on se lève tôt belle journée de planche à neige en vue, mais nuit de sommeil pas super bonne…. chauffe-pieds qui s’avèrent être des chauffe-mains beaucoup de mal à les placer dans les bottes. Ok un petit chialage, mais on se rappelle du défi et on se dit que c’est mieux que de rien avoir du tout pour se réchauffer. Ce défi m’a permis de me questionner davantage en me disant est-ce que ça vaut vraiment la peine de chialer? De répandre des ondes négatives? Non! Il y a toujours moyen de voir du positif et de minimiser le chialage :) Aller, on sourit :)

Entrée 2

On prolonge le défi… puisque j’ai fait mes 3 entrées dans la même… pourquoi ne pas prolonger le défi? Donc lundi le 23 février, je continue à vouloir voir le positif dans ce qui peut être négatif. Aller à un entraînement à la piscine lorsqu’il fait -30. Un peu désagréable, mais tellement gratifiant une fois fait, tout en passant un bon moment avec mon père. Donc chialer qu’il fait froid, ça servirait à rien, plutôt me féliciter de l’avoir fait!

Entrée 3

Mercredi 25 février j’ai presque chialé contre le traffic et le prix du gaz, mais je me suis dit que ça ne donnait rien. Ça ne ferait pas disparaître les voitures ni baisser le prix de l’essence. Décidémment ce défi m’a permis de me questionner sur l’effet du chialage sur ma personne et sur mon entourage. Il m’a fait prendre conscience que chialer ne donnait rien et souvent empirait la situation. Vaut mieux voir le verre a moitié plein qu’à moitié vide!