BUVEZ EN MANGEANT:
Puisqu’on parle de ventre vide, tout le monde sait déjà certainement (probablement même d’expérience, comme moi) que boire de l’alcool sans manger en même temps, c’est quelque chose qu’on essaie de ne pas répéter trop souvent. Lorsqu’on mange des bouchées en même temps, l’absorption de l’alcool se fait plus lentement et est donc moins «surprenante».
SE PRÉPARER MENTALEMENT:
Si on sait que notre faiblesse, ce sont les croustilles (ou encore les desserts), on y pense avant. Alors on se «parle» et on se prépare au fait qu’il y aura des tentations. On décide à l’avance de notre stratégie. Par exemple, on se dit : «Je vais prendre seulement 10 croustilles et m’éloigner du plat ensuite pour me changer les idées», ou encore «Ce soir je vais manger à ma faim mais je suis capable de ne pas prendre de dessert».
Un autre exercice à faire à l’avance est le suivant : se préparer aux gens qui voudront absolument qu’on prenne de tout, et ce, même si on n’a plus faim ou soif (trouver une façon polie mais ferme de leur répondre, c’est génial).
ÉVITER LE FAIT DE « MANGER SES ÉMOTIONS »:
Bon, c’est un truc plus psycho-pop que culinaire, mais après tout, les émotions sont souvent liées de très, très près à la nourriture. Le temps des Fêtes, c’est souvent ça : le fait de retrouver notre famille nous fait sentir à nouveau comme un enfant, quelqu’un qui n’est plus présent nous manque particulièrement, on peut se sentir vulnérable face aux critiques des autres, etc. Il n’y a pas de solution miracle à cela. Mais il reste que comprendre ces mécanismes peut aider à mieux les identifier lorsqu’ils se présentent et c’est déjà un pas de fait pour ne pas se laisser happer par les abus alimentaires.
Source: Viteunerecette.ca