Toute jeune, j’ai été sensibilisé à l’importance de donner ses vêtements trop petits ou que nous n’aimions plus à ceux qui en avaient besoin par ma grand-mère, alors responsable de la St-Vincent-de-Paul du village d’où je viens. Ainsi, encore aujourd’hui, à chaque saison, lorsque je fais le ménage des placards, j’ai l’habitude de mettre le tout dans un sac et d’aller les porter au comptoir de l’organisme de charité le plus près. Ce n’est pas parce que nous n’aimons plus un morceau, qu’il ne peut pas faire le bonheur d’un autre!
Donner au suivant
Valérie Gauthier
7 octobre 2014