Lorsque j’étais petite, je n’aimais pas travailler. Le jeu était plus intéressant et en grandissant mon père m’as appris qu’avec de l’acharnement et de la détermination on pouvait faire de grande chose et surtout atteindre des buts que l’on s’est fixé afin de pouvoir être fière du cheminement que l’on poursuit et que l’on a la satisfaction de voir le résultat final. Il avait l’habitude de dire que si une porte ne s’ouvre pas il y en a une autre qui va s’ouvrir et qu’elle sera probablement meilleure que la précédente. Il ne faut jamais perdre espoir et abandonner car lorsqu’une porte se ferme eh bien une autre s’ouvre pour le meilleur. À nous de voir jusque où on veut aller. Il faut dire que mon père n’abandonnait jamais.
Le travail
denise stpierre
22 août 2014